pas-putes-mais-tres-soumise

Une fois nos tabous retirés et nos préjugés détruits, ma tendre Aphrodyte et moi nous aventurons peu à peu sur un chemin sombre qui nous est totalement inconnus, le BDSM. 

Ce n'est qu'une fois après avoir atteint les limites de plaisirs que pouvait nous procurer le sex "Vanille" que nous avon décider de naviguer sur le net dans l'espoir de trouver cette petite étincelle qui saura embrasser le feu de notre passion et de notre attirence sexuelle réciproque. 

Nous avons visités plusieurs forum et blogs en tout genre qui nous ont conduit tout deux à la même déduction, le BDSM est fait pour nous. Ma femme ne révait plus que de devenir ma petite chienne, ma soumise sous tout rapports et moi je n'avait plus qu'une idée en tête, de réduire à néant tout forme de contestation et de liberté dans l'esprit et l'âme de ma bien aimée soumise. 

Les premières fois ont été plus que cahotiques, nous avion du mal à nous lacher complètement et nous improvisions des pseudos séances avec ce que nous avions sous la main. Les premières erreurs venait en grande partie de moi, je n'arrivait pas à voir l'amour dans ce mode de vie, je ne voyais pas l'échange ce qui me dérangeait fortement. Puis vint notre première véritable séance. 

Ce fut un moment merveilleux, que se soit dans l'idée comme dans sa réalisation. Ce fut fait avec les moyens du bords, tellement que j'en rit aujourd'hui encore. 

Je me rapelle encore de chaque instants, du moment ou je l'ai attaché avec les laisses de nos chiens au barreau de notre lit qui n'en n'a que trop vu au jour d'aujourd'hui. A chaque lien que je resserait je voyais dans son regard cette lueur qui me murmurait sans que mot ne soit dit : "Je t'appartient, je t'en supplie occupe toi bien de moi et possède moi autant que tu le désire mais fait le bien." 

Et c'est la que j'ai compris, que j'ai compris à quel point ce type de relation était pleine de sentiments forts et qu'elle témoignait d'une indéniable dépendance des deux amants. Le maître n'est pas seulement un homme qui dispose de sa soumise comme d'un vulgaire objet, il est littéralement responsable de la santé physique et mentale de sa soumise, ainsi que de son bien être emotionnel. Et c'est à ce moment précis que moi, maître Eros, suis né. 

Au fur et a mesure cette première séance, je testait les limites de mon Aphrodyte, lui plaçant des pince à linge en guise de pince teitons tout en admirant ses yeux rougir et sa poitrine trembler sous l'effet du plaisir immense qu'elle avait à me voir jouer ainsi avec elle. Dès le début j'ai sut que cette soumise allait devenir une chienne très docile et très obéissante. 

Mais c'était sans compter sur son caractère sauvage, je ne compte plus le nombre d'orgasme que cette petite salope m'a gâché, mais fort heureusement les coup de martinets et les séances ou je la laissait à la limite de l'orgasme sans la pénétrer ne serait ce que d'un doigt lui ont fait passer cette mauvaise habitude. 

Elle regrettait amèrement ces erreurs, il fallait la voir à la limite des larmes, me suppliant de la baiser et de la défoncer aussi fort qu'il m'était possible de le faire tellement elle culpabilisait d'avoir gâché mon plaisir, c'est un chienne très dévoué mais il lui reste beaucoup à apprendre, tout comme à moi d'ailleurs. 

Car en effet, le BDSM ne se résout pas à l'éducation d'une soumise par un maître, mais c'est aussi la soumise qui sans le savoir la plupart du temps, apprend au maître comment prendre soin d'elle et comment la rendre heureuse dans toute les circonstances possibles. C'est d'ailleurs de cette facon que notre relation de couple quotidienne, s'épanouie de plus en plus à chaque seconde passé ensemble. C'est un éternel recommencement, un lien d'amour et de dépendance si immense qu'il devient impossible au maître de se séparer de sa soumise, tout comme il devient impossible à la soumise de survire sans son maître. 

Certains se passe la bague au doigt pour preuve d'amour, moi j'ai décidé de lui mettre un collier au cou, cllier qu'elle porte à chaque fois qu'il est possible. 

Α.ω